ATROPINE (SULFATE) LAVOISIER 0,25 mg-1 ml, solution injectable, boîte de 100 ampoules bouteilles de 1 mL
Dernière révision : 29/12/2015
Taux de TVA : 2.1%
Laboratoire exploitant : CHAIX ET DU MARAIS
- Pré-anesthésie : protection des manifestations vagales (bradycardie à l'induction).
- Bloc auriculoventriculaire ou atrioventriculaire.
- Dans l'infarctus : prévention et traitement des blocs auriculoventriculaires et des bradycardies sinusales.
- Traitement symptomatique des manifestations douloureuses aiguës liées aux troubles fonctionnels du tube digestif et des voies biliaires.
- Traitement symptomatique des manifestations spasmodiques et douloureuses des voies urinaires.
- Bloc auriculoventriculaire ou atrioventriculaire.
- Dans l'infarctus : prévention et traitement des blocs auriculoventriculaires et des bradycardies sinusales.
- Traitement symptomatique des manifestations douloureuses aiguës liées aux troubles fonctionnels du tube digestif et des voies biliaires.
- Traitement symptomatique des manifestations spasmodiques et douloureuses des voies urinaires.
CONTRE-INDIQUE :
Ce médicament ne doit pas être administré en cas de :
- hypersensibilité à l'un des constituants,
- risque de glaucome par fermeture de l'angle,
- risque de rétention urinaire liée à des troubles urétroprostatiques,
- en cas d'allaitement : le passage de l'atropine dans le lait maternel peut entraîner un surdosage chez le nourrisson, avec notamment des signes de toxicité neurologique. De surcroît, l'atropine diminue la sécrétion lactée. En conséquence, si la prise de ce médicament apparaît réellement indispensable, l'allaitement est contre-indiqué.
DECONSEILLE :
Ce médicament est généralement déconseillé au cours du dernier trimestre de la grossesse : les études effectuées chez l'animal ont mis en évidence un effet tératogène de l'atropine dans une seule espèce et à doses très élevées. En clinique, l'utilisation de l'atropine au cours d'un nombre limité de grossesses n'a apparemment révélé aucun effet malformatif ou foetotoxique particulier à ce jour. Toutefois, des études complémentaires sont nécessaires pour évaluer les conséquences d'une exposition en cours de grossesse. En conséquence, par mesure de précaution, il est préférable de ne pas utiliser l'atropine pendant la grossesse.
Ce médicament ne doit pas être administré en cas de :
- hypersensibilité à l'un des constituants,
- risque de glaucome par fermeture de l'angle,
- risque de rétention urinaire liée à des troubles urétroprostatiques,
- en cas d'allaitement : le passage de l'atropine dans le lait maternel peut entraîner un surdosage chez le nourrisson, avec notamment des signes de toxicité neurologique. De surcroît, l'atropine diminue la sécrétion lactée. En conséquence, si la prise de ce médicament apparaît réellement indispensable, l'allaitement est contre-indiqué.
DECONSEILLE :
Ce médicament est généralement déconseillé au cours du dernier trimestre de la grossesse : les études effectuées chez l'animal ont mis en évidence un effet tératogène de l'atropine dans une seule espèce et à doses très élevées. En clinique, l'utilisation de l'atropine au cours d'un nombre limité de grossesses n'a apparemment révélé aucun effet malformatif ou foetotoxique particulier à ce jour. Toutefois, des études complémentaires sont nécessaires pour évaluer les conséquences d'une exposition en cours de grossesse. En conséquence, par mesure de précaution, il est préférable de ne pas utiliser l'atropine pendant la grossesse.
- Utiliser avec prudence en cas de :
. hypertrophie prostatique ;
. insuffisance rénale et/ou hépatique ;
. insuffisance coronarienne, troubles du rythme, hyperthyroïdie ;
. bronchite chronique (en raison de l'accroissement de la viscosité des sécrétions bronchiques) ;
. iléus paralytique, atonie intestinale chez les sujet âgés, mégacôlon toxique.
- Ne pas mélanger avec d'autres médicaments au moment de l'emploi.
- Grossesse 1er trimestre et 2ème trimestre : les études effectuées chez l'animal ont mis en évidence un effet tératogène de l'atropine dans une seule espèce et à doses très élevées. En clinique, l'utilisation de l'atropine au cours d'un nombre limité de grossesses n'a apparemment révélé aucun effet malformatif ou foetotoxique particulier à ce jour. Toutefois, des études complémentaires sont nécessaires pour évaluer les conséquences d'une exposition en cours de grossesse. En conséquence, par mesure de précaution, il est préférable de ne pas utiliser l'atropine pendant la grossesse.
. hypertrophie prostatique ;
. insuffisance rénale et/ou hépatique ;
. insuffisance coronarienne, troubles du rythme, hyperthyroïdie ;
. bronchite chronique (en raison de l'accroissement de la viscosité des sécrétions bronchiques) ;
. iléus paralytique, atonie intestinale chez les sujet âgés, mégacôlon toxique.
- Ne pas mélanger avec d'autres médicaments au moment de l'emploi.
- Grossesse 1er trimestre et 2ème trimestre : les études effectuées chez l'animal ont mis en évidence un effet tératogène de l'atropine dans une seule espèce et à doses très élevées. En clinique, l'utilisation de l'atropine au cours d'un nombre limité de grossesses n'a apparemment révélé aucun effet malformatif ou foetotoxique particulier à ce jour. Toutefois, des études complémentaires sont nécessaires pour évaluer les conséquences d'une exposition en cours de grossesse. En conséquence, par mesure de précaution, il est préférable de ne pas utiliser l'atropine pendant la grossesse.
- sécheresse buccale,
- épaississement des sécrétions bronchiques,
- diminution de la sécrétion lacrymale,
- troubles de l'accommodation,
- tachycardie, palpitations,
- constipation,
- rétention d'urine,
- excitabilité,
- irritabilité, confusion mentale chez les personnes âgées.
Un ajustement de la posologie peut permettre de diminuer ou de faire disparaître ces effets.
- épaississement des sécrétions bronchiques,
- diminution de la sécrétion lacrymale,
- troubles de l'accommodation,
- tachycardie, palpitations,
- constipation,
- rétention d'urine,
- excitabilité,
- irritabilité, confusion mentale chez les personnes âgées.
Un ajustement de la posologie peut permettre de diminuer ou de faire disparaître ces effets.
PRUDENCE en cas de conduite de véhicules ou d'utilisation de machines (troubles de l'accommodation).
Grossesse :
Les études effectuées chez l'animal ont mis en évidence un effet tératogène de l'atropine dans une seule espèce et à doses très élevées.
En clinique, l'utilisation de l'atropine au cours d'un nombre limité de grossesses n'a apparemment révélé aucun effet malformatif ou foetotoxique particulier à ce jour. Toutefois, des études complémentaires sont nécessaires pour évaluer les conséquences d'une exposition en cours de grossesse.
En conséquence, par mesure de précaution, il est préférable de ne pas utiliser l'atropine pendant la grossesse.
Allaitement :
Le passage de l'atropine dans le lait maternel peut entraîner un surdosage chez le nourrisson, avec notamment des signes de toxicité neurologique. De surcroît, l'atropine diminue la sécrétion lactée.
En conséquence, si la prise de ce médicament apparaît réellement indispensable, l'allaitement est contre-indiqué.
Les études effectuées chez l'animal ont mis en évidence un effet tératogène de l'atropine dans une seule espèce et à doses très élevées.
En clinique, l'utilisation de l'atropine au cours d'un nombre limité de grossesses n'a apparemment révélé aucun effet malformatif ou foetotoxique particulier à ce jour. Toutefois, des études complémentaires sont nécessaires pour évaluer les conséquences d'une exposition en cours de grossesse.
En conséquence, par mesure de précaution, il est préférable de ne pas utiliser l'atropine pendant la grossesse.
Allaitement :
Le passage de l'atropine dans le lait maternel peut entraîner un surdosage chez le nourrisson, avec notamment des signes de toxicité neurologique. De surcroît, l'atropine diminue la sécrétion lactée.
En conséquence, si la prise de ce médicament apparaît réellement indispensable, l'allaitement est contre-indiqué.
ASSOCIATIONS A PRENDRE EN COMPTE :
Autres substances atropiniques : antidépresseurs imipraminiques, les antihistaminiques H1 sédatifs, antiparkinsoniens anticholinergiques, disopyramide (anti-arythmique de la classe la), méquitazine, neuroleptiques phénothiaziniques.
Addition des effets indésirables atropiniques à type de rétention urinaire, constipation, sécheresse de la bouche...
Autres substances atropiniques : antidépresseurs imipraminiques, les antihistaminiques H1 sédatifs, antiparkinsoniens anticholinergiques, disopyramide (anti-arythmique de la classe la), méquitazine, neuroleptiques phénothiaziniques.
Addition des effets indésirables atropiniques à type de rétention urinaire, constipation, sécheresse de la bouche...
Voie sous-cutanée ou intraveineuse lente, selon l'indication.
La spécialité doit être administrée sous contrôle médical.
- Antispasmodique (voie SC) :
. chez l'adulte : 0,25 à 1 mg toutes les 6 heures ; posologie maximale : 2 mg/24 h.
. chez l'enfant :
au-dessus de 6 ans : 0,5 mg en dose unique,
entre 2 et 6 ans : 0,25 mg en dose unique.
- Médication pré-anesthésique (voie SC) :
. chez l'adulte : 1 mg,.
. chez l'enfant (de 30 mois à 15 ans) : 0,1 mg à 0,5 mg,
. chez le nourrisson (de 1 à 30 mois) : 0,1 mg à 0,3 mg.
- En cardiologie (voie IV lente) : chez l'adulte : 0,5 à 1 mg.
La spécialité doit être administrée sous contrôle médical.
- Antispasmodique (voie SC) :
. chez l'adulte : 0,25 à 1 mg toutes les 6 heures ; posologie maximale : 2 mg/24 h.
. chez l'enfant :
au-dessus de 6 ans : 0,5 mg en dose unique,
entre 2 et 6 ans : 0,25 mg en dose unique.
- Médication pré-anesthésique (voie SC) :
. chez l'adulte : 1 mg,.
. chez l'enfant (de 30 mois à 15 ans) : 0,1 mg à 0,5 mg,
. chez le nourrisson (de 1 à 30 mois) : 0,1 mg à 0,3 mg.
- En cardiologie (voie IV lente) : chez l'adulte : 0,5 à 1 mg.
Durée de conservation :
3 ans.
Après ouverture : le produit doit être utilisé immédiatement.
Précautions particulières de conservation :
Pas de précautions particulières de conservation.
3 ans.
Après ouverture : le produit doit être utilisé immédiatement.
Précautions particulières de conservation :
Pas de précautions particulières de conservation.
Ne pas mélanger avec d'autres médicaments au moment de l'emploi.
- Signes cliniques : sécheresse de la bouche, mydriase, paralysie de l'accommodation, tarissement des sécrétions et surtout tachycardie, agitation, confusion et hallucinations allant jusqu'au délire, dépression respiratoire.
- Traitement symptomatique avec surveillance cardiaque et respiratoire, en milieu hospitalier.
- Traitement symptomatique avec surveillance cardiaque et respiratoire, en milieu hospitalier.
ANTISPASMODIQUE ANTICHOLINERGIQUE / PREMEDICATION EN ANESTHESIE / ANTI-ARYTHMIQUE.
(A : appareil digestif et métabolisme).
(C : système cardiovasculaire).
(A : appareil digestif et métabolisme).
(C : système cardiovasculaire).
La demi-vie est de 2 h à 2 h 30.
Le métabolisme se fait par hydrolyse et glucuroconjugaison.
L'élimination est urinaire, 1/3 sous forme inchangée, 2/3 sous forme glucuroconjuguée.
L'atropine passe la barrière placentaire et est excrétée dans le lait maternel.
Le métabolisme se fait par hydrolyse et glucuroconjugaison.
L'élimination est urinaire, 1/3 sous forme inchangée, 2/3 sous forme glucuroconjuguée.
L'atropine passe la barrière placentaire et est excrétée dans le lait maternel.
Prévenir les conducteurs de véhicule et les utilisateurs de machine du risque lié aux troubles de l'accommodation.
Sans objet.
Pas d'exigences particulières.
Liste I.
Absence d'information dans l'AMM.
Ampoule bouteille (verre de type I) de 1 ml ; boîte de 100.